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Le nouveau site est orienté à la fois vers la recherche et le développement (R&D), la production de semences hybrides de céréales et de colza. Cet investissement de 10 M d’euros doit produire 600 t par an d’ici à trois ans.
« Le site de Chartres sera un centre d’excellence pour les céréales hybrides et une base importante de la plateforme mondiale de R&D pour le lancement futur du blé hybride », a déclaré la directrice mondiale R&D Trish Malarkey. Syngenta table sur une mise en marché de ce blé hybride pour 2020-2021.
« Notre pilier n°1 est le développement du blé hybride », a souligné David Guiard, responsable de l’expérimentation en céréales pour la France. « C’est le blé de l’avenir. De gros investissements lui sont consacrés en R&D. »
Signe de l’importance donnée au site de Chartres, Syngenta lui consacre sa première campagne de communication grand public. Des affiches sont déployées dans une quarantaine d’abribus de l’agglomération : « il s’agit de se présenter au voisinage », a expliqué le directeur de la communication Xavier Thévenot. 5 portraits de salariés du site sont mis en avant.
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