–stop–
Parmi les recommandations des auteurs, l’une porte sur « la nécessité de disposer d’un contrat à terme du sucre, quel qu’il soit, fortement corrélé avec le marché physique intracommunautaire ». « Les planteurs de betteraves y trouveraient, pour certains, une opportunité de couverture de risque pour de la contractualisation à prix ferme ».
Une autre recommandation est de diversifier l’offre contractuelle entre agriculteurs et groupes sucriers. Il s’agit d’« encourager le développement de solutions de couverture de gré à gré indexées sur les marchés à terme ».
Par ailleurs, l’étude propose le développement d’instruments de stabilisation pluriannuelle de la marge/ha, qui « permettent de satisfaire les agriculteurs sur un horizon plus long » par rapport aux contrats à terme. L’idée est de favoriser « la contractualisation long terme (3 à 5 ans) de prix et de volume (hectares ou tonnage) qui correspond à l’attente de certains planteurs comme à celle des groupes sucriers », d’après les auteurs.