–stop–
En plus notamment d’« un prêt court terme de 500 à 700 euros/ha à taux nul », il a proposé « d’inclure des mesures structurelles pour renforcer à terme la compétitivité des filières céréalières » en particulier dans « la transformation technologique de l’agriculture française, la capacité de stockage et l’amélioration du réseau de transport des céréales françaises, le renforcement de la qualité (protéine notamment) des céréales », selon un communiqué le lendemain.
Soufflet évalue l’impact de la moisson catastrophique à « une diminution de 30 à 40 % du chiffre d’affaires des filières céréalières ».
« Il convient à la fois de soutenir conjoncturellement la trésorerie des agriculteurs et leur environnement économique et de renforcer l’investissement dans la compétitivité de ces filières », considère le groupe.
Ses propositions incluent une dérogation exceptionnelle sur les délais de paiement, un report des échéances de prêts, une suppression de la C3S (contribution sociale de solidarité des sociétés) en 2017.