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« La situation des nappes n’est pas si mal, alors qu’on était très inquiet au 1er février », a déclaré l’hydrogéologue Philippe Vigouroux. « Les précipitations de février et mars ont comblé une grande partie du déficit très marqué » de la recharge à la fin de l’hiver.
Un bilan hétérogène est toutefois dressé selon les régions, avec des réservoirs souterrains qui affichent des niveaux inférieurs à la normale dans le Sud-Est en particulier.
« La situation montre que, sur la plus grande partie du territoire, la recharge hivernale a été efficace au cours des deux premiers mois de l’année, indique le BRGM. La plus grande partie du Bassin parisien, du Sud-Ouest et de l’Est présente des niveaux normaux ou supérieurs à la normale en lien avec des pluies marquées. Quelques secteurs restent déficitaires en termes de recharge comme dans une partie du Sud-Est ou dans le nord-est du Bassin parisien. »