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Pour les instituts, l’écosystème agricole doit renforcer ses compétences (par exemple en traitement de données), favoriser la co-construction des outils avec les agriculteurs et aussi de « nouveaux acteurs » (entreprises, organismes de recherche) ; ces outils doivent être évalués en conditions réelles (réseaux d’agriculteurs ou fermes expérimentales).
Les données doivent être mutualisées, mieux inventoriées et rendues interopérables (ouvertes à d’autres usages).
Enfin le monde agricole doit se doter de règles concernant l’utilisation des données, afin d’en garantir la maîtrise et de favoriser ainsi leur ouverture.