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Comment faire évoluer ses pratiques sur céréales à l’aide des biosolutions ? Parole aux agriculteurs

Vous êtes de plus en plus nombreux à faire évoluer vos pratiques au service d’une agriculture respectueuse de l’environnement et de la santé humaine.

Parmi elles, l’utilisation de biosolutions d’origines naturelles progresse chaque année en France. En tant que fournisseur historique de biosolutions, UPL est fier de partager vos expériences et vos ambitions en céréales.

Objectif : « maximiser sa productivité et réduire les solutions conventionnelles »

Depuis maintenant 4 ans, UPL, 1er fournisseur de biostimulants en céréales a pu mettre en avant dans plus de 200 essais en collaboration avec la filière céréalière, l’intérêt d’associer un biostimulant à un fongicide de biocontrôle pour substituer le traitement conventionnel.

Benoît Séry, céréalier à Saint-Aubin-de-Crétot en Seine-Maritime vous en parle.

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Très attaché à optimiser les itinéraires culturaux de son système de culture et habitué à se forger une solide opinion, Benoît Séry a expérimenté en 2021/2022 le produit de biocontrôle Thiopron®Rainfree (soufre liquide) associé au biostimulant Florilège®.

« Un T1 bien rentabilisé ! Mis à part au début du printemps, la pression maladies a été faible en 2022, mais j’ai rapidement constaté de la septoriose et un peu de rouille jaune sur la modalité sans T1 – ce qui s’est directement fait ressentir sur les résultats ! Cette modalité s’est soldée par un rendement de 95 q/ha et un PS de 77 alors que les modalités avec T1 ont obtenu 101 q/ha pour le programme habituel et 103 q/ha avec le soufre associé au Florilège® ».

Objectif : « confort d’utilisation, simplicité et efficacité »

Même si le recours aux biosolutions est de plus en plus encouragé en France pour des raisons souvent sociétales et environnementales, UPL s’engage à fournir des solutions pratiques, simples d’utilisation et efficaces.

Florent Thiébaud est agriculteur au nord du département de la Haute-Saône vous en parle.

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« Ainsi j’ai pu tester sur blé, l’association soufre liquide (biocontrôle) et Florilège® (biostimulant) en substitution d’un fongicide conventionnel au stade 1 nœud. Cela correspond à un premier passage de pulvérisation, je vise notamment la septoriose à ce stade. Par rapport à un fongicide conventionnel, je n’ai pas observé de différence significative sur le plan physiologique. D’un point de vue sanitaire je peux même dire qu’il y a un léger bénéfice avec la solution alternative, mais dans un contexte de faible pression….

D’un point de vue pratico-pratique, il n’y a pas eu de difficulté particulière quant à la mise en œuvre de la bouillie (mélange des produits), la pulvérisation et le rinçage du produit. Donc sur le point de la sécurité et de la facilité d’usage c’est identique à un produit conventionnel. Ce qu’il est important de noter, c’est que cette solution alternative permet de maintenir la plante dans de bonnes conditions, ce qui pourrait permettre de gagner en souplesse de travail en décalant notamment le traitement suivant, car l’effet préventif semble avéré ».

Objectif : « réduire ses IFT et préserver l’environnement »

Alexis Rosse, polyculteur éleveur dans le nord du département de l’Eure-et-Loir vous en parle.

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« En règle générale, j’ai une stratégie à trois passages sur mes orges d’hiver un T1 (stade 1 à 2 nœuds), T2 (stade DFE) et T3 sur étamines. De pouvoir substituer en T1 une solution alternative qui associe un produit de biocontrôle (Laminarine) et un biostimulant (Florilège®) à une solution conventionnelle, c’est une piste de travail intéressante pour baisser l’IFT sur la parcelle, à condition qu’elle soit tout aussi efficace et économiquement supportable »

Un levier prometteur pour faire baisser les IFT, « La mise en place de l’essai en 2022 a donné satisfaction tant en rendement qu’en qualité. Il faut préciser que c’était une année de faible pression. Dans un tel contexte, on pourrait même s’interroger sur la possibilité de se passer d’un T1. Mais d’une année sur l’autre, les conditions peuvent être radicalement différentes. L’alternative biocontrôle + biostimulant a été appliquée le 29 mars, dans les mêmes conditions que pour le témoin traité avec une solution conventionnelle. Je n’ai pas observé de différence entre ces deux modalités d’un point de vue sanitaire et physiologique si ce n’est que j’ai fait une économie de 0,84 IFT sur la parcelle grâce à la modalité biocontrôle + biostimulant ».

Retrouvez l’ensemble des témoignages et toutes les informations concernant nos biosolutions sur notre page PRONUTIVA

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