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Ce partenariat « vise à développer des services numériques adaptés aux besoins des agriculteurs » et à créer de « multiples bénéfices environnementaux, économiques et agronomiques : optimisation de l’utilisation d’engrais, de l’irrigation, amélioration des rendements… », selon un communiqué de presse.
Pour ce faire, le groupe BASF mettra à disposition « ses experts, son savoir-faire en matière de protection des cultures, son expérience de terrain et sa connaissance du monde agricole et de ses pratiques ».
Quant à l’ESA, elle fournira « des images et des données obtenues par satellites ».
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