Le service « Evidence » de BASF Agro, qui permet d’optimiser la répartition de la pulvérisation en vigne, se décline désormais en « Evidence à la vigne ».
Cette nouvelle version est plus facile à mettre en place, plus pratique, plus rapide, tout en restant toujours aussi visuelle. Le service est réalisé directement sur une parcelle de vigne par le technicien culture.
Un pulvérisateur mal réglé, c’est moins d’efficacité, moins de rentabilité et des risques pour l’environnement et la santé. Suite aux demandes des viticulteurs, BASF Agro a fait évoluer son service « Evidence » en « Evidence à la vigne », pour visualiser plus rapidement si un pulvérisateur est correctement réglé.
En quoi consiste le service « Evidence à la vigne » ?
« Evidence à la vigne » permet, grâce à un protocole simple et rapide, de réaliser un diagnostic dynamique et visuel de la qualité de la répartition sur le végétal de la pulvérisation de son pulvérisateur. Le service est réalisé sur une parcelle de vigne de l’exploitation et animé par le technicien culture. A l’issue du test, le conseiller remet une attestation de diagnostic et des préconisations de réglage du pulvérisateur, pour une plus grande efficacité des traitements. Ce diagnostic s’adapte à tous les types de vignes palissées et tous les pulvérisateurs.
Ce service a été développé conjointement par BASF Agro et l’Institut Français de la Vigne et du Vin (IFV). Il bénéficie donc des expertises de BASF Agro dans l’utilisation des produits phytosanitaires et de l’IFV dans le domaine technique de la pulvérisation.
Des bénéfices immédiats :
Le diagnostic visuel de la répartition de la pulvérisation permet d’agir immédiatement en conséquence sur le réglage du pulvérisateur.
Un pulvérisateur bien réglé permet de :
– Gagner en efficacité : éviter les échecs d’application et les pertes potentielles, par exemple 20 % d’attaque d’oïdium, c’est 20 % de rendement en moins (source : travaux ICV-BASF Agro).
– Optimiser les traitements : éviter le gaspillage et ajuster le volume de bouillie au volume de végétation.
– Assurer le potentiel quantitatif et qualitatif de la vendange (potentiellement altéré par le mildiou, l’oïdium, le botrytis, les vers de grappe…), par exemple 5 % de botrytis suffisent pour altérer la couleur des vins rouges (source : travaux INRA Bordeaux).
– Limiter les pertes dans l’air et le sol en confinant la pulvérisation sur la parcelle et en s’assurant que la bouillie touche au maximum la cible et rien que la cible.
Les viticulteurs utilisateurs témoignent : « Evidence à la vigne » est apprécié pour la visualisation du résultat : « C’est la nuit et le jour par rapport au contrôle à vue que je faisais », « On a vu où atterrissait le produit, c’est un moyen de visualisation pertinent », « Les capteurs couvrent toute la hauteur de la vigne ; j’ai vu la bonne répartition du produit », « J’ai pu me rendre compte que j’en mettais beaucoup par terre ». Le diagnostic permet des améliorations immédiates : « On a vu que le haut de la vigne n’était pas pulvérisé, on n’avait que deux jets et on en a ajouté un troisième ».
Le service permet également un contrôle de la qualité du travail effectué : « Ça m’a permis de constater que le matériel avait bien vieilli, que je l’avais bien entretenu », « J’ai pu voir le résultat de mon travail, j’ai vu qu’il était bon à 98 % ». Enfin, « Evidence à la vigne » est un outil pédagogique : « C’est très formateur, s’il est possible de le faire avec mes employés, je pourrai les sensibiliser ».
En savoir plus : http://www.agro.basf.fr/agroportal/fr/fr/startpage.html