Le marché des adjuvants en France représente 17.300.000 ha (source AFA 2014-2015) dont 11.170.000 ha de mouillants répartis en grandes cultures (85 %) et VAM (15 %).
Le marché des herbicides représente le plus gros créneau d’usages pour les adjuvants : 50 % du marché adjuvants, soit 5.529.000 ha développés en herbicides, our un global herbicides, fongicides, insecticides et régulateurs de 11.117.000 en ha développés.
Sur ces 3 marchés, afin d’optimiser l’efficacité des produits phytopharmaceutiques, il est intéressant d’améliorer les propriétés majeures de la pulvérisation :
Car : Dans un contexte où les problématiques de désherbage sont grandissantes, l’efficacité maximale des produits phytopharmaceutiques est nécessaire : le moindre point d’efficacité compte. Néanmoins l’efficacité ne doit pas faire oublier les critères essentiels de sélectivité et d’impact sur l’environnement. C’est pourquoi nous attachons une grande importance à la formulation de nos adjuvants et à leur action sur la limitation de la dérive de pulvérisation. Ce critère résonne particulièrement dans le contexte sociétal et environnemental actuel.
Nous avons donc réfléchi un adjuvant combinant les propriétés des huiles et des mouillants.
Une action trois volets qui permet :
1/ d’améliorer l’efficacité des références herbicides du marché
2/ tout en sécurisant l’application en termes de sélectivité et de réduction des pertes par dérive (mention « limitation de dérive » en attente d’attribution).
Les preuves techiniques :
En synthèse :
En savoir plus :