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« Alors que les herbicides représentent une part importante du total des phytos utilisés, la surveillance n’a pas pris en compte le développement des adventices », d’après sa synthèse de 22 rapports produits depuis 2007.
Autre grief, la relation entre le conseil basé sur le BSV (bulletin de santé du végétal) et la réduction des phytos « reste à démontrer ».
Le rapport du CGAAER égratigne le réseau Dephy, qui privilégie l’approche par systèmes de cultures en éludant la gestion de l’ensemble de l’exploitation (travail, équipement…). Quant au pilotage stratégique, il est « insuffisant » pour s’assurer de l’avancement de tous les objectifs du réseau.
« La gestion des risques économiques au niveau de l’exploitation n’est pas abordée », est-il ajouté.
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